3 novembre : Exposition HARRY GRUYAERT "RIVAGES"
3 novembre : Exposition HARRY GRUYAERT "RIVAGES"
Vernissage samedi 3 novembre de 18h à 20h
Exposition du 4 novembre au 2 décembre 2018
Né en Belgique en 1941, Harry Gruyaert à étudié le cinéma et la photographie à Bruxelles de 1959 à 1962. Puis, il devient photographe à Paris, tout en travaillant en freelance comme directeur de la photographie pour la télévision flamande, entre 1963 et 1967.
En 1969, il effectue le premier d’une longue série de voyages au Maroc. De 1970 à 1972 il réside à Londres. Ce sera l’occasion d’expérimentations visuelles inédites : il décide de « couvrir » les Jeux Olympiques de Munich de 1972 ainsi que les premiers vols Apollo sur l’écran de télévision détraqué qu’il a sa disposition, en manipulant les couleurs. Cette série fait maintenant partie des collections du Centre Georges Pompidou.
Entre 1973 et 1980, il entreprend un long essai sur la Belgique (Roots), d’abord en noir et blanc puis en couleur.
Harry Gruyaert rejoint la coopérative Magnum Photos en 1982 et poursuivra de nombreux voyages notamment en Asie, USA, au Moyen Orient et Union Soviétique.
Parmi ses importants travaux, les deux éditions de Rivages (2003 et 2008), toutes deux épuisées, et la réédition augmentée de 2018 sont les témoins de la passion d’Harry Gruyaert pour les environnements, couleurs et lumières contrasté.e.s.
Parmi plusieurs expositions importantes, une première retrospective lui fut consacrée à la Maison Européenne de la Photographie à Paris, en 2015, ainsi qu’une grande exposition au FoMU, à Anvers, en 2018.
Dans les années 2000 Harry Gruyaert abandonne l’argentique pour le numérique. Très soucieux de la qualité des tirages réalisés jusqu’alors en cibachrome et parfois en dye transfert, il expérimente très tôt le tirage jet d’encre à encres pigmentaires qui lui permet de rendre compte, avec plus de précision, du rendu qu’il souhaite pour ses images.
Exposition du 4 novembre au 2 décembre 2018
Né en Belgique en 1941, Harry Gruyaert à étudié le cinéma et la photographie à Bruxelles de 1959 à 1962. Puis, il devient photographe à Paris, tout en travaillant en freelance comme directeur de la photographie pour la télévision flamande, entre 1963 et 1967.
En 1969, il effectue le premier d’une longue série de voyages au Maroc. De 1970 à 1972 il réside à Londres. Ce sera l’occasion d’expérimentations visuelles inédites : il décide de « couvrir » les Jeux Olympiques de Munich de 1972 ainsi que les premiers vols Apollo sur l’écran de télévision détraqué qu’il a sa disposition, en manipulant les couleurs. Cette série fait maintenant partie des collections du Centre Georges Pompidou.
Entre 1973 et 1980, il entreprend un long essai sur la Belgique (Roots), d’abord en noir et blanc puis en couleur.
Harry Gruyaert rejoint la coopérative Magnum Photos en 1982 et poursuivra de nombreux voyages notamment en Asie, USA, au Moyen Orient et Union Soviétique.
Parmi ses importants travaux, les deux éditions de Rivages (2003 et 2008), toutes deux épuisées, et la réédition augmentée de 2018 sont les témoins de la passion d’Harry Gruyaert pour les environnements, couleurs et lumières contrasté.e.s.
Parmi plusieurs expositions importantes, une première retrospective lui fut consacrée à la Maison Européenne de la Photographie à Paris, en 2015, ainsi qu’une grande exposition au FoMU, à Anvers, en 2018.
Dans les années 2000 Harry Gruyaert abandonne l’argentique pour le numérique. Très soucieux de la qualité des tirages réalisés jusqu’alors en cibachrome et parfois en dye transfert, il expérimente très tôt le tirage jet d’encre à encres pigmentaires qui lui permet de rendre compte, avec plus de précision, du rendu qu’il souhaite pour ses images.